A Marrakech, il n’ y a que la pamiste Fatima-Zahra Mansouri pour être mairesse de la ville ocre dont le parti a obtenu 46 sièges sur les 179 à pourvoir dans les 6 arrondissements que compte Marrakech. Preuve, elle a été portée, vendredi 17 septembre, pour la deuxième fois à la tête de cette mairie qu’elle a déjà dirigée entre 2009 et 2015. Avant d’être balayée par le tsunami islamiste qui a fait tomber la cité ocre dans l’escarcelle de Mohamed Larbi Belcaïd, en délicatesse avec la justice sur des appels d’offres jugés sujets à caution en relation avec la COP 22.
Juste après la séance du vote qui l'a consacrée mairesse, elle a livré, toute excitée, une réaction à chaud où elle a fixé ses priorités de nouvelle patronne de la ville en se prenant pour le ministre du Tourisme, voire le chef du gouvernement désigné : agir pour requinquer le tourisme local qui a atrocement souffert de la crise sanitaire. Les Marrakchis ne retiennent pas grand-chose du mandat de cette avocate nantie, fille d'ancien ambassadeur, soutiennent ses détracteurs qui semblent oublier que la présidente du conseil national du PAM a une qualité redoutable : sa grande proximité avec le patron du parti Abdellatif Ouahbi…
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