« C’est la mort cérébrale ». C’est en ces termes qu’un grand professionnel du tourisme national a qualifié la...
« C’est la mort cérébrale ». C’est en ces termes qu’un grand professionnel du tourisme national a qualifié la situation du secteur toujours dévasté par la crise sanitaire. Alors qu’une lueur d’espoir s’était entrouverte avec un début de retour des touristes européens au Maroc à l’occasion des dernières vacances de la Toussaint (du 17 octobre au 2 novembre), le reconfinement imposé dans de nombreux pays de l’UE a fait l’effet d’une douche glaciale pour les opérateurs touristiques et tué chez eux l’espoir d’une relance fut-elle légère. Ces derniers espèrent toutefois retrouver des couleurs avec les fêtes de fin d’année pour remplir hôtels et restaurants désespérément vides depuis mars dernier notamment à Marrakech qui paie un lourd tribut au Covid-19. Les restrictions en Europe ont impacté gravement le business de la RAM qui tourne actuellement à 10% de son activité; ce qui ne lui permet pas de faire face à ses multiples charges. L’industrie des voyages a plus que du plomb dans l’aile. Le coronavirus lui a coupé les ailes.
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