Entre Dominique Voynet et Lionel Jospin, c’est une histoire non pas platonique, mais atomique. La Voynet a donné l’avoinée au trotskiste Jospin ! Ce rouge qui s’est fait ripoliner en rose pour essayer de devenir président de la République s’est fait lamentablement sortir par Le Pen au premier tour des érections présidentielles de 2002… C’était bien La Peine de se présenter pour se vautrer ainsi, ça n'en valait pas Le Pen… Depuis, après avoir reçu l’avoinée de sa vie, l’ex-trotskiste s’est définitivement retiré de la vie politique. Ce garçon aura porté un coup fatal à la recherche française en sabordant le projet nucléaire Superphénix qui avait couté 10 milliards d’euros pour sa construction… Actuellement, ce site coûte « un pognon de dingue » pour sa déconstruction… Le circuit de refroidissement de Superphénix était de type piscine (pool reactor). Ceci constituait une innovation technologique majeure par rapport au système notamment utilisé sur Rapsodie et les surgénérateurs américains. Superphénix était prévu pour produire plus de plutonium qu'il n'en consomme, c'est ce qui s'appelle la surgénération. Superphénix a coûté, au total, 12 milliards d'euros (actualisé en 2010) jusqu'à son arrêt définitif en 1997 selon la Cour des Comptes. Pour faire le bilan, il faut aussi ajouter le prix de son démantèlement, qui est estimé à 2,5 milliards d'euros. Au bout du compte, l'expérience industrielle a été jugée coûteuse, la possibilité d'une exploitation industrielle «normale» étant contestée Des données économiques approuvant la poursuite de l'activité de Superphénix malgré son coût initial important ont été avancées par la Commission de la production et des échanges de l'Assemblée nationale en avril 1997: (1) l'essentiel des charges liées au fonctionnement du réacteur appartient au passé; (2) la poursuite de l'activité du réacteur à neutrons rapides ne devrait pas générer de pertes substantielles et peut même, si le taux de disponibilité est au moins égal à 46 %, dégager un bénéfice ; (3) l'arrêt immédiat du réacteur est, en tout état de cause, plus coûteux que la poursuite de l'activité même grevée d'un faible taux de disponibilité de l'infrastructure.
Selon le rapport de la Commission de la production et des échanges de l'Assemblée nationale, en avril 1997, la relance de Superphénix était donc économiquement viable. Le rapport de l'Assemblée nationale de 1998 ne partage pas l'avis de la Commission de la production et des échanges de l'Assemblée nationale, et conclut à un coût du kilowattheure non compétitif dès la phase de conception du réacteur, tout en remarquant que personne ne conteste l'avis de la Cour des Comptes selon lequel « le bilan de l’expérience de la surgénération apparaît aujourd’hui défavorable dans tous les cas sur le plan financier ».
L'image de l'industrie française à l'international a été fortement dégradée par le projet Superphénix. Selon le rapport de l'Assemblée nationale de 1998, la France apparaissait isolée sur une filière qui semblait abandonnée par de nombreux pays. Les hasards du calendrier ont voulu que la catastrophe de Tchernobyl se produise au même moment (avril 1986) que la mise en service de Superphénix. Le manque de transparence et les erreurs de communication, en France, sur les conséquences de la catastrophe de Tchernobyl ont entraîné une certaine méfiance de l'opinion publique sur la sûreté nucléaire, qui a pu se reporter sur la filière émergente des réacteurs à neutrons rapides (RNR), dont la conception est pourtant très différente de celle du RBMK soviétique. La responsabilité sociétale des constructeurs et des exploitants du réacteur a été discutée via des informations diffusées par des réseaux anti-nucléaires internationaux (Greenpeace), nationaux (Réseau sortir du nucléaire), et locaux (Associations loi 1901, Comité Malville...). (À suivre)
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