Lamine Benomar, wali de Dakhla Oued Eddahab.

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Voir une délégation d’opérateurs économiques espagnols débarquer au Sahara marocain relevait de l’inimaginable il y a encore quelques mois. Mais c’était avant que le Maroc et l’Espagne ne décidassent de relancer leurs relations-, qui avaient souffert ces derniers temps du fameux scandale Ghali- sur de nouvelles bases, dans le cadre d’une feuille de route claire et ambitieuse. Depuis que Madrid a reconnu la pertinence de la solution d’autonomie pour le Sahara, proposée par le Maroc, ces tensions ont été jetées dans la poubelle de l’histoire où se décomposent déjà depuis longtemps les polisariens et leurs thèses farfelues soutenues, telle la corde le pendu, par le sponsor algérien.

C’est dans ce contexte que Dakhla abrite les 21 et 22 juin prochains, un Forum d’affaires Maroc-Espagne, initié par le conseil de la région de Dakhla Oued Eddahab, en partenariat avec le ministère de l’Industrie et du Commerce. Ce rendez-vous à forte charge symbolique vise à explorer les opportunités d’affaires offertes par la région par les deux parties, notamment le   tourisme, la pêche et les énergies renouvelables. Il s’agit de promouvoir la belle Dakhla comme destination privilégiée des investissements étrangers, indique un communiqué du Conseil régional. Pendant ce temps, rien n’interdit au régime algérien, que ce genre d’initiative rend malade, de continuer à investir dans ses projets chimériques.

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