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Déjà repéré en 2011 par la cybersécurité, ce cheval de Troie refait surface en mars dernier, en pleine guerre contre le coronavirus...

Déjà repéré en 2011 par la cybersécurité, ce cheval de Troie refait  surface en mars dernier, en pleine guerre contre le coronavirus. Prenant pour cible les données bancaires de ses victimes, ce dangereux virus s’est d’ailleurs hissé à la première position des principaux maliciels, rapporte Check Point, une entreprise spécialisée dans la cybersécurité.

Le virus s’en prend particulièrement à «la plateforme Windows, diffusant des campagnes de pourriels à destination des ordinateurs infectés et dérobant les identifiants bancaires et autres données personnelles afin de se ménager potentiellement un accès à d’autres informations financières», indique Check Point dans son rapport. Le retour en force du trojan- qui a connu de nombreuses mises à jour depuis son apparition-a été aidé par la prolifération de campagnes de pourriels, des mails indésirables, incluant une pièce jointe malveillante qui contenait le fameux Dridex. Une fois installé sur une machine, ce dernier «établit un contact avec un serveur à distance, envoie des informations concernant le système infecté et peut également télécharger et exécuter des modules supplémentaires afin de rendre possible un contrôle à distance ». Cours à distance, travail à distance, salut à distance et  escroquerie à distance. Frappée de suspicion, la proximité ne fait plus recette…

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