Manigances algériennes
La rédaction
5/1/2022 23:30
Ahmed Abou Al-Gheït, SG de la Ligue arabe.

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Nouveau revers diplomatique pour le pouvoir algérien. Cette fois-ci, il lui a été infligé par la Ligue arabe qui rassemble les composantes de la Oumma. Dans une note, adressée le 25 décembre dernier, à tous les organes et structures qui lui sont affiliés, elle a recommandé l’adoption d’une carte unifiée dans la totalité des manifestations qu’ils organisent en  joignant une carte des pays arabes comprenant la carte complète du Maroc, incluant le Sahara. Rejoignant la résolution du Conseil de coopération du Golfe qui au terme du  dernier sommet du mardi 14 décembre 2021, a réaffirmé son soutien à la marocanité du Sahara, tout en se portant garant de la sécurité du Royaume et de son intégrité territoriale, la démarche de l’organisation panarabe est sans équivoque : elle constitue une reconnaissance de la souveraineté du Royaume sur ses provinces du sud et un message clair aux dirigeants algériens en treillis qui accueillent le prochain sommet des chefs d’État arabe en mars prochain. Tebboune et compagnie vont-ils pousser leur fameux nif (orgueil) jusqu’à claquer la porte de la Ligue arabe ? L’Algérie des généraux cherche vainement depuis près de quatre décennies à légitimer leur création polisarienne. Se décomposant à vue d’œil, cette supercherie nommée RASD n’a réussi en 47 ans d’existence chimérique à faire son entrée (en 1983) en toute illégalité qu’à l’OUA (devenue UA) grâce à la diplomatie du chéquier déployée tous azimuts à l’époque par les pontes du FLN. Ce qui provoqua en guise de protestation  le départ du Maroc qui réintégra sa «famille africaine» en janvier 2017 dans le sillage de la nouvelle politique africaine de S.M le Roi Mohammed qui a marqué des points décisifs au cœur des bastions algériens du continent.

La prochaine étape ? Chasser l’intrus de l’Union africaine. Un intrus qui s’est vu retirer, au gré des camouflets diplomatiques subis par son sponsor, la reconnaissance de nombreux pays à travers le monde ? Botter la fantomatique république hors de l’instance africaine est conforme au droit, la RASD n’étant pas un État avec une population et un territoire. Juste un certain état d’esprit dévoyé de ses géniteurs qui commencent à provoquer, à la faveur de leurs agissements irresponsables, voire puérils, un Ras-d le bol généralisé…

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