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Un certain Amine Diouri, directeur Études et Communications chez Inforisk ne boude pas non plus son plaisir dans ce contexte pandémique...

Un certain Amine Diouri, directeur Études et Communications chez Inforisk ne boude pas non plus son plaisir dans ce contexte pandémique. Il faut dire que celui-ci lui donne du grain à moudre, dans des proportions inattendues, lui permettant de pérorer encore plus sur « les défaillances d’entreprises » dont il a fait  un sacré métier  qu’il exerçait avec délectation  sur certaines radios bien avant cette crise sanitaire. L’avènement du Covid-19 donne tout à coup  un tour dramatique à ses pronostics déjà pessimistes à souhait. Or, ces derniers qui ne sont fondés  sur  aucune enquête de terrain sérieuse, proviennent exclusivement  des notifications judiciaires de dépôts de bilan et autres données comptables des entreprises. Ces renseignements sont récupérés par Inforisk auprès des tribunaux de commerce pour les emballer sous format électronique et les revendre à l’état brut, moyennant un abonnement, aux entreprises « en vie» comme service à haute valeur ajoutée. Et ce sans aucun travail de vérification ni  d’analyse pour déceler ce qui relève de la cessation d’activité sincère et de la faillite frauduleuse. Dans un tel contexte confus,  le nombre de création de sociétés et leur disparition est à relativiser car ne signifiant pas grand-chose dans l’absolu. Ce créneau facile permet à Inforisk de gagner de l’argent à moindre frais tout en distillant au passage des informations peu crédibles préjudiciables au climat des affaires.

Et  son spécialiste autoproclamé  de sévir sur le site EoActu:  «Mon estimation initiale de +5%  (de défaillances d’entreprises) en début d’année est aujourd’hui caduque. Plusieurs raisons à cela. Tout d’abord, beaucoup de TPME ont abordé la crise avec un système immunitaire fortement diminué, et donc déjà des problèmes de trésorerie: délais de paiement de 212 jours pour les TPE, sous-capitalisation en fonds propres de ces entreprises, difficultés d’accès aux marchés publics…». Heureusement que le filon de la parlotte a été épargné par le virus…

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