Ramtane Lamamra, le ministre algérien des Affaires étrangères.

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Dans la continuité de ses actes ridiculement obsessionnels  envers  le Maroc, l’Algérie vient de franchir un palier supplémentaire sur le front du burlesque: l’annonce mardi 24 août par son ministre des Affaires étrangères Ramtane Lamamra de la rupture de ses relations diplomatiques avec  le Maroc. Voilà, la junte militaire d’Alger a rompu des relations qui n’ont jamais existé dans les faits. Il fallait le faire ! En fait, depuis que  les États-Unis ont reconnu la marocanité du Sahara en décembre 2020, les généraux algériens ont perdu les pédales, multipliant les actes irrationnels dans une fuite en avant en mode accélérée… Dans un pays où le ridicule ne tue pas,  il fallait s’attendre à tout et n’importe quoi qui ont d’ailleurs marqué de tout temps le comportement de la junte algérienne envers le voisin marocain dont les réussites dans divers domaines les exaspèrent au plus haut point car montrant en creux son incurie qui a battu tous les records du tolérable.  

Cette rupture, qui marque l’aboutissement d’une politique algérienne chroniquement hostile envers le Royaume qui dure depuis 40 ans, fait suite aux dernières accusations farfelues proférées par les dirigeants algériens selon lesquelles Rabat est à l’origine des feux de forêts meurtriers qui ont ravagé la Kabylie en ce début d’été. Ces incendies ont été en vérité provoquées, comme cela a été révélé par certaines vidéos montrant des hélicoptères de l’armée algérienne déversant du carburant sur le feu sur un village kabyle, par le clan militaro-sécuritaire qui avait orchestré en sous-main la fameuse décennie noire des années 90 sur fond de massacres de civils attribués aux groupes armés islamistes proches du FIS. Objectif inavoué : discréditer en le diabolisant le Mouvement pour l’autodétermination de la Kabylie (MAK) que ce pouvoir aux abois qui sévit en Algérie depuis l’indépendance en 1962 tient avec le Maroc pour responsable de ces feux de forêt dans une tentative désespérée de faire diversion…

Ces accusations grossières et sans preuves n’ont  étonné ni les dirigeants marocains ni les chancelleries occidentales qui ont compris depuis longtemps que les généraux aux commandes à Alger ont fait du Maroc la carte de survie de leur système bâti sur la spoliation des richesses du pays, la propagande et le mensonge et qui ont conduit à la paupérisation de la population et au Hirak qui dure depuis environ deux ans. L’officialisation de la haine viscérale algérienne envers le Royaume a été accueillie par un certain soulagement du côté des responsables marocains qui n’ont pas daigné réagir. Tellement l’annonce de M. Lamamra, qui  pensait avoir dégoupillé une bombe diplomatique, ressemble à un pétard mouillé…

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