Fouzi Lekjaa en première ligne.

Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Suspendisse varius enim in eros elementum tristique. Duis cursus, mi quis viverra ornare, eros dolor interdum nulla, ut commodo diam libero vitae erat. Aenean faucibus nibh et justo cursus id rutrum lorem imperdiet. Nunc ut sem vitae risus tristique posuere.

Les sujets de friction entre le gouvernement et les syndicats sont nombreux, amplifiés par une conjoncture défavorable marquée toujours par la hausse de l’inflation et le renchérissement des produits de consommation courante (denrées alimentaires et carburants notamment) et des services. D’où la revendication des centrales syndicales d’une augmentation générale des salaires pour compenser une partie du pouvoir d’achat bouffé par l’envolée spectaculaire des prix. Le gouvernement, lui, qui ne l’entend pas de cette oreille  propose de consentir une valorisation des salaires entre 25 et 187 DH ainsi qu’un effort sur la baisse de l’IGR pour certaines tranches de revenus. Une  baisse que les syndicats veulent qu’elle soit assez significative au nom de «la justice fiscale » qu’ils brandissent dans leurs rounds de négociation avec le ministre du Budget Fouzi Lekjaa. L’autre dossier chaud et conflictuel qui promet une confrontation syndicat-gouvernement a trait à la réforme des retraites. Le projet de Loi de finances 2023 en cours de préparation intervient dans un contexte très tendu marqué par des attentes sociales très fortes. Entre le marteau de la guerre en Ukraine qui exerce une pression énorme sur les finances publiques aggravée par la sécheresse qui se profile à l’horizon et l’enclume d’une grogne sociale qui commence à se faire entendre, l’exécutif doit  se livrer à un exercice délicat  d’équilibriste.

Les plus lus