Nabila Rmili, une maire en pleine inaction...

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«J’ai passé une partie de ma vie dans les urgences et je me suis dit que je m’en suis débarrassé, Dieu soit loué, en devenant maire de Casablanca ». C’est en ces termes que Nabila Rmili a démarré en substance  son allocution à l’occasion du forum des élus du RNI organisé samedi 13 mai à Casablanca sous la présidence du président du parti Aziz Akhannouch. Eh ben non, poursuit-elle, à son grand malheur. Elle a aussitôt  appris que tout à Casablanca, qui est loin d’être une sinécure, relève de l'urgence: eau, éclairage,  espaces verts, voirie… Autant de maux complexes dont elle n’a encore administré aucun traitement, faute, dit-elle, de moyens financiers. En somme, la pauvre Dr Nabila, tétanisée certainement par l’étendue de la tâche et des défis, a essuyé les plâtres en novice de la chose locale puisqu’elle n’a jamais géré une commune auparavant. Lalla Nabila n’a pas partagé avec ses amis du parti, certainement par pudeur, certains tracas inhérents au métier, comme l’aimable visite il y a quelques jours d’une équipe de la Cour des comptes dépêchée par l’incorruptible Zineb El Adaoui. Avec comme mission de passer au peigne fin tous les marchés lancés par la mairie depuis la prise de ses fonctions en novembre 2021… Trouver des remèdes aux un et mille maux  de Casablanca en arrivant surtout à contenir la voracité presque pathologique des  lobbys de l’immobilier  c’est en effet pour Nabila la « maire» à boire.

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