D’habitude, les riches qui tombent malades, s’empressent d’aller se faire soigner à l’étranger et non pas dans leur pays auxquels ils ne font confiance que pour s’enrichir. Pour une fois, le Coronavirus met tout le monde, nantis et démunis, à égalité qu’il cloue au sol national. Les uns et les autres sont obligés en cas d’infection de recourir au système de santé local. Plus moyen d’aller à l’étranger dans une conjoncture mondiale terrifiante marquée par la fermeture des frontières nationales sur les cinq continents. Décidément, ce Coronavirus, qui ne fait pas le tri entre puissants et faibles, fortunés et pauvres, fonctionne comme la mort. Enfin un vrai démocrate !