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L'Organisation mondiale de la santé  (OMS) considère désormais que l'aspartame, un édulcorant artificiel utilisé dans les sodas, le dentifrice ou les médicaments, est "peut-être cancérogène pour l'homme". C'est la conclusion rendue le 14 juillet par   le Centre international de Recherche sur le Cancer de l'OMS qui évaluait pour la première fois le niveau de danger de cette substance.  Une substance  incorporée  parfois à forte dose dans beaucoup de produits agroalimentaires comme  Coca-Cola Zero,  Pepsi Max ou  Sprite Zero. Mais aussi dans des yaourts 0%,  des produits laitiers, les Actimel 0% de Danone, les boissons Powerade ou des chewing-gums Mentos. Présent depuis 40 ans dans bien des  aliments, cet additif controversé est présenté par les industriels de la transformation alimentaire comme une révolution.  

Promu depuis des années par des industriels qui laissent entendre que c’est une solution pour perdre du poids, la réalité  est depuis mai 2023  moins reluisante, selon l’ONG  française de défense du consommateur  Foodwatch  qui relaie le message de l’OMS de « ne plus consommer d'édulcorants non sucrés – dont l’aspartame fait partie – dans ce but, car rien ne prouve que cela fonctionne ». Plus grave encore,  ajoute l’association, « l'examen des preuves scientifiques actuelles par la même instance internationale suggère que la consommation d’édulcorants est associée à un risque accru de diabète de type 2 et de maladies cardiovasculaires ». En un mot, ingurgiter du poison doux, que l’on retrouve dans bien des aliments,  est devenu incontournable. Ça   tue du monde mais ça fait très bien vivre quelques pontes de l’agro-industrie mondiale.  

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