Benyamin Netanyahou, un retour malvenu...

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C’était prévisible, le cabinet le plus extrémiste de l’histoire israélienne, formé en décembre 2022, ne peut produire que la violence extrême. Benyamin Netanyahou, qui a fait appel aux ultra-orthodoxes et l’extrême droite pour se coaliser avec son Likoud nationaliste, a vite fait de provoquer une nouvelle flambée de violence.  Neuf Palestiniens  massacrés  dans un raid des forces de police à Jénine, sept Israéliens abattus par un jeune  résistant palestinien aux abords d’une synagogue, plusieurs blessés de part et d’autre : voici le lourd bilan du retour  au pouvoir d’un homme qui ne sait que faire couler du sang en lâchant sa soldatesque armée jusqu’aux  dents contre des civils palestiniens opprimés et sans défense. Ces drames ont donné lieu aux séquences habituelles, condamnations verbales de la  communauté internationale et ballet diplomatique  américain avec le déplacement  lundi  31 janvier  du secrétaire d’État  Antony Blinken a Jérusalem et Ramallah où  il a rencontré les dirigeants israéliens et palestiniens. Ces scènes, qui ont un air de plusieurs fois déjà vues, ne disent qu’une seule chose : l’impuissance ou plutôt le manque de volonté politique des Américains à imposer la solution des deux États. Le seul moyen pour mettre fin au terrorisme de l’État hébreu  et à l’impunité de  ses responsables très peu responsables.

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