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Les syndicats des médecins libéraux ont organisé une grève générale le jeudi 20 janvier. Pas de prestations dans la majorité des cabinets privés sauf dans les services d’urgence. Objectif de cette action qui traduit un ras-le-bol des blouses blanches :  protester contre la sourde oreille opposée par le gouvernement à leurs  principales revendications que sont l’harmonisation des taux de cotisations à l’Assurance Maladie des Indépendants (AMI), la révision de la tarification nationale de référence (TNR) et la mise en place d’un parcours de soins. Quatre syndicats sont aux avant-postes de cette action: le Syndicat National de la Médecine Générale (SNMG), l’Association Nationale des Cliniques Privées (ANCP), le Syndicat National des Médecins du Secteur Libéral (SNMSL) et le Collège Syndical National des Médecins Spécialistes Privés (CSNMSP). Dans le détail, les praticiens du privé rejettent le décret 2.21.290 qui fixe les niveaux de cotisations à 4 fois le Smig pour les médecins généralistes et à 5,5 fois le Smig pour les spécialistes.  Ils réclament la baisse de ces montants à 3 fois le Smig, à l'instar des autres professions libérales comme les notaires, pharmaciens, ou architectes. S’agissant du TNR, la loi est claire, stipulant une revalorisation triennale. Or, ce tarif n'a pas changé depuis sa date d’entrée en vigueur en 2006. Résultat : Ce sont les malades assurés qui sont lésés au fond puisqu’ils paient de leur poche quelque 54% de la note des frais des soins.

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